Daniel Gaemperle s’approprie le rose dans sa peinture

Dans la rubrique "Hors d’œuvre" de cette semaine, laquelle explore la Collection jurassienne des beaux-arts, Sarah Stékoffer Rieben nous fait découvrir une œuvre de Daniel Gaemperle.
Sans titre, Daniel Gaemperle, non daté, technique mixte sur toile, 115 x 90 cm (détail). Division commerciale du CEJEF, Delémont.
Sans titre, Daniel Gaemperle, non daté, technique mixte sur toile, 115 x 90 cm (détail). Division commerciale du CEJEF, Delémont.

Sans titre, Daniel Gaemperle, non daté, technique mixte sur toile, 115 x 90 cm (détail). Division commerciale du CEJEF, Delémont.

Office cantonal de la culture

Sarah Stékoffer Rieben
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La tentation du rose, irrésistible pour un homme qui adore saisir à rebrousse-poil les clichés sociétaux. Du rose, une couleur traditionnellement bannie des atours masculins, donc il s’en fait un étendard: petit ruban au bout de la queue-de-cheval.

C’est aussi une couleur interne au corps humain. Un espace qui inspire Daniel Gaemperle depuis longtemps, particulièrement celui du cerveau et de ce qui s’y trame. Compagnon de création d’une personne vivant avec un grave traumatisme crânien, il s’est lancé récemment sur les traces du noème ("Noema" en allemand, qui sonne comme un prénom de femme).

Toujours ce goût du monumental

Les origines de la pensée, ce qui fonde l’entendement, une source d’inspiration visuellement abstraite (comme celle de la nacre qui, en tant que sécrétion...

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